jeudi 18 décembre 2014

trophée ADEME

dans le cadre de nos projets (lutte contre le gaspillage alimentaire) , nous avons remporté la première place au concours "semaine européenne de réduction des déchets " organisé par l'ademe lorraine




lundi 1 décembre 2014

soirée las vegas

au programme repas américain / casino / magie







le cinéclub

En partenariat avec la municipalité , le local ados de Volmerange participera à l'organisation du ciné club.
Une fois par mois , les ados choisiront un film et par le biais d'un atelier vidéo prépareront une petite bande annonce du prochain film.



article du rl

http://www.republicain-lorrain.fr/moselle/2014/11/30/les-ados-d-eclos-contre-le-gaspillage

la semaine de réduction des déchets 22-30 novembre 2014

SEMAINE EUROPEENNE DE REDUCTION DES DECHETS


déroulement
une vingtaine d'ados du local ados de l'association eclos à Volmerange les mines a profité de la semaine européenne de réduction des déchets pour présenter et démarrer de nombreux projets en vue de sensibiliser les habitants du village.

Dès septembre octobre , l'équipe d'animation a dans un premier temps sensibilisé les ados par une soirée «  prévention contre le gaspillage alimentaire  ». A travers plusieurs jeux de rôle , de réflexion, des questionnaires , ils ont été amenés à prendre conscience des travers qu'engendre notre société de consommation.
Cette soirée se termina par un débat et par la constitution de groupes de travail sur des projets à venir.

Le premier projet fut un atelier «  cuisinons les restes  ». A partir de trognons de pomme , d'épluchures , de pain rassis , de légumes esthétiquement abîmes , les ados ont reconstitué une entrée , un plat et un dessert.

Le deuxième projet fut la création d'un concours de bande dessinée sur la thématique du gaspillage alimentaire.
Ce concours fut proposé par les ados aux enfants de primaires.
La bande dessinée était à présenter lors de la semaine de réduction des déchets le 25 novembre 2014. Le vainqueur nous présenta l'histoire de jeanine la pomme de terre qui oubliée dans un placard puis jetée à la poubelle , se morfond de ne pas avoir terminée sa vie en tant que compost.
(voir article précédent)

Le troisième projet fut la participation le 25 décembre à une activité «  jeux me débrouille  ». L'animateur a proposé aux ados plusieurs petits jeux (mini hockey , démineur, happy pizza) entièrement constitués avec des matériaux destinés à la poubelle (carton, papier , bouchons , bâtons d'eskimos , etc...)






Le quatrième projet se veut la suite logique du troisième, les ados ont profité du mercredi après midi (26 novembre) pour construire un grand jeu de société en 3d avec du matériel de récupération (paquet de céréales , cartons, rouleaux de papier toilettes, bouchons de liège (récupéré au café du coin) , bouchons en plastique. Par petits groupes de travail (4 groupes de 5 ados), ils ont constitués les décors , les pions personnages , les cartes de sortilèges, et inventé une règle de jeu afin de constituer un jeu du genre «  médieval fantasie  ».
Plusieurs extension de ce jeu seront réalisés les semaines suivantes




Le cinquième projet eut lieu le jeudi 27 novembre , un petit groupe de travail se pencha sur les plans d'un champicomposteur à partir d'une base de grillage. L'animateur s'est chargé de trouver un rouleau de grillage qui permettra de réaliser cet objet recyclé. Le vendredi soir (28 novembre) les 5 ados participant au projet ont commencé à construire le socle. Ils poursuivront ce travail les semaines à venir




Le sixième projet consiste à la création de bacs de nourriture à partager (incroyables comestibles). Trois filles se sont mise à l'ouvrage assez tôt dans l'année et ont récupéré des pneus de voiture , du terreau et ont planté quelques graines de haricots d'hiver qui ont commencé à pousser. A côté de cela , le mercredi 26 et le  jeudi 27 novembre 2014 un groupe de travail de 4 ados a mené des recherches sur le mouvement «  incroyables comestibles  » et a récupéré auprès d'un poissonnier des bacs en polysthyrène et ont installé à l'entrée du local un bac rempli de terreau et de petites graines qui pousseront à l'intérieur en hiver avant d'être exposées à l'extérieur en saison plus favorable






Le septième projet consiste en une campagne «  ramassage de pain rassis  ». L'animateur s'est inscrit en partenariat avec une ferme à cochon de Kanfen afin de trouver un point de chute au pain récupéré.
Les ados ont établi 3 parcours de ramassage dans le village. Après avoir prévenu les habitants se trouvant sur ce parcours une semaine à l'avance, ils ont procédé à cette campagne de sensibilisation des habitants du village. En effet , l'idée principale étant de faire réfléchir les Volmerangeois qui en ouvrant leurs portes pouvaient constater qu'un groupe de 15 ados avaient récoltés sur quelques rues l'équivalent d'une cinquantaine de baguettes.
Le premier parcours eut lieu le vendredi 28 novembre 2014 , deux autres parcours seront réalisés en février et en avril.







D'autres projets sont en cours d'étude afin de réduire les déchets alimentaires des lieux de restauration collective (cantine périscolaire , cantine du collège) et devraient déboucher sur des actions concrètes en 2015.

lundi 24 novembre 2014

luttons contre le gaspillage = la bd du périscolaire

dans le cadre de la lutte contre le gaspillage les enfants du périscolaire ont participé à un concours organisé par les ados
concours de bande dessinée
voici la bd du vainqueur
histoire d'une pomme de terre qui se promène dans la campagne avant de se faire kidnapper par un homme qui l'oublie dans un placard et en s'en rendant compte la jette à la poubelle
on y découvre les regrets de la pomme de terre




vendredi 14 novembre 2014

la vie du front et de l'arrière front

La première guerre guerre mondiale.


Pendant la Première Guerre Mondiale, de nombreuses familles ont souffert, surtout les hommes de tout âge, qui ont été appelé au front jusqu’àla fin de cette guerre. Les combattants connaissent une vie difficile dans des conditions déplorables, au fond des tranchées.

Nous allons vous expliquer la vie des poilus.
Une condition de vie terrible.

Les combattants vivaient dans des tranchées, qu’ils creusaient eux-mêmes et qu’ils devaient entretenir chaque jour. Ils vivaient donc dehors subissant les conditions météorologiques du moment, surtout le froid et la pluie qui rendaient ainsi les tranchées boueuses. Il n'y avait pas de toilettes : ils faisaient là où ils pouvaient, s'il n'avaient pas à boire, ils devaient boire leur urine, ils dormaient à même le sol.
De plus les soldats étaient entourés de cadavres, ce qui ne favorise pas l’hygiène dans laquelleles soldats vivaient. Ces cadavres attiraient les rats et les poux (manque d’hygiène); des maladies se développèrent (peste, gangrène, …). La nourriture était souvent la même (notamment de la soupe car facile à transporter et à faire en grande quantité) et peu nourrissante.

Pour les soldats, cette vie n’était pas facile à vivre : l’odeur des cadavres aux alentours des tranchées et le bruit des obus en permanence rendaient souvent les combattants fous voir dépressifs ; l’idée de la mort les hantait. Les soldats, fatigués, avaient recourt à des mutineries. Ces soldats, considérés comme des traitres, été condamnés à mourir.






Comment vivaient les femmes en l'absence des hommes ?

La guerre rend la vie des femmes difficile:

-Il était tout d’abord difficile de se procurer de la nourriture en temps de guerre.
Il faut faire la queue devant les magasins d’alimentation afin d’obtenir de la nourriture. Celle-ci est en partie rationnée au
cours du conflit.
-L’essentiel des biens de la nation est d’abord affecté à l’effort de guerre et aux poilus. Cet état de fait renforce la difficulté des travaux des femmes pendant la Première Guerre mondiale, car les corps sont affaiblis par les privations. Or, certains travaux des champs et à l’usine comme le rôle de « munitionnettes » sont extrêmement physiques et éprouvants pour les corps féminins.
-La vie des femmes est aussi difficile en l’absence des hommes qui sont des maris, des fils, des frères. Elles vivent
dans l’attente des nouvelles du front et dans l’angoisse de perdre un être cher. Ce sont de véritables souffrances morales. Il y a 630 000 veuves après le premier conflit mondial.
-Malgré ces conditions d’une dureté extrême, les femmes ont non seulement assuré leur rôle traditionnel mais, en
l’absence des hommes, en ont assumé de nouveaux pendant ce conflit.


lise .t